21. Bulletin immobilier. Loi sur la réhabilitation urbaine, la régénération et le renouvellement.

La nouvelle règle, qui est entré en vigueur le 28 Juin, prévoit la réhabilitation obligatoire pour les immeubles de plus de 50 ans, environ trois millions de foyers d’ici 2018, un nouveau système d’inspection des bâtiments appliquera. Dans cette réhabilitation, il exigera un rapport économique qui explique comment il financera le travail. De plus, lorsqu’elle est réglementée par les administrations locales, dans 10 ans, elle sera étendue à tous les bâtiments collectifs, car les délais d’examen des ITE actuels sont respectés.
La loi simplifie le concept des travaux de réhabilitation des réformes mineures opter pour le soutien du public, reconsidère majorité des jeux au sein des communautés de majorité hégémonique des propriétaires (60%) dans asambleas- et facilite la mise en place du secteur privé Dans la gestion des projets urbains.
Les municipalités peuvent agir de leur propre initiative et réhabiliter les bâtiments privés. Pour les payer, la loi permet aux collectivités de donner « pièces -Dans de la propriété ou le droit d’utiliser-louer en échange de paiements différés » ou mis en « échange ou le transfert de fonds ou une partie du sujet de la propriété à certaines réformes de construction » et Cela peut «louer des locaux, des maisons ou d’autres éléments communs». C’est le cas des maisons de porteurs qui, dans de nombreux cas, n’ont pas de codes de logement.
Il invite également les entreprises de construction à facturer la réforme à zéro coût et de manière différée, en fonction des économies d’énergie obtenues. Cette formule servira, selon les gestionnaires de la ferme, à «lutter contre la délinquance financière dans les communautés propriétaires».
La loi prévoit également des sanctions pour la certification énergétique des bâtiments et leur graduation. Ainsi, les infractions mineures seront sanctionnées avec des amendes de 300 à 600 euros; Les sérieuses, de 601 à 1 000 euros, et les très graves, entre 1 001 et 6 000 euros.

 
Le texte précise également que « nonobstant ce qui précède, dans les cas où le bénéfice du délinquant obtenu par la perpétration de l’infraction était supérieur au montant des pénalités dans chaque cas mentionné au paragraphe précédent, la peine est imposée Pour un montant équivalent au profit ainsi obtenu « .